27 mai 2016
Manger 5 fruits et légumes par jour d’accord, mais manger 5 fruits et légumes gorgés de pesticides par jour, Est-ce vraiment meilleur pour la santé ? C’est inévitable les pesticides et autres ingrédients chimiques qui aident la croissance, la conservation, la production de nos amis végétaux encombrent nos assiettes !
La DGCCRF publie les résultats des contrôles de résidus de pesticides dans les produits tels que les fruits, légumes, et les céréales. Les laboratoires estiment alors si les limites maximales de résidus de pesticides sont respectées.
Autres que les pesticides nous retrouvons en top 10 le PCB, le chlordecone, le mercure, l’aluminium, les mycotoxines, de l’acrylamide, du cadmium, et bien d’autres produits en « ium ». (ça donne faim n’est ce pas ?)
les fruits et légumes les plus contaminés :
- pêche,
- pomme (une pomme est traitée en moyenne par 35 pesticides différents)
- poivron,
- céleri,
- nectarine,
- fraises,
- cerises,
- chou frisé,
- laitue,
- raisins importés,
- carotte,
- poire.
- tomate
- pomme de terre
les fruits et légumes les moins contaminés :
- oignon,
- avocat,
- maïs doux,
- ananas,
- mangue,
- asperge,
- petits pois,
- kiwi,
- chou,
- aubergine,
- papaye,
- pastèque,
- brocoli,
- patate douce.
Ce classement est basé sur un score établit à partir de 6 mesures de contamination différentes.
Vous êtes ce que vous mangez !
Le tri tu exécuteras
Les légumes sortant de terre sont davantage protégés aux expositions, sauf notre amie la pomme de terre, très polluée. Les légumes protégés d’une cosse, comme les petits pois et la fève sont également moins exposés aux pesticides. (voici quelques recettes aux petits pois, rien que pour vous !)
La provenance tu regarderas
Les aliments importés peuvent subir des traitements non autorisés en France, ils sont également souvent traités pour favoriser leur conservation et leur résistance durant le transport. Alors on évite la fraise de l’autre bout du monde gorgé de fongicides. Acheter à proximité limite les traitements chimiques !
La peau tu éplucheras
Oui on sait, une grande partie des nutriments se trouve dans la peau mais la pulpe est aussi très riche. Les pommes sont très polluées, et « cirées » à la morpholine alors si elle n’est pas bio ou fraîchement cueillie dans le jardin de votre tonton Daniel on épluche ! Si vous voulez garder les nutriments de la peau vous pouvez brosser et laver vos fruits et légumes au vinaigre !
Les saisons tu respecteras
Notre chère planète te remerciera ! Les produits frais et de saison contiennent moins d’additifs et de conservateurs que ceux parcourant de longs kilomètres ou cultivés hors saison. car Ils sont souvent produit « hors-sol », ce qui contraint à les traiter davantage.
Les fruits et légumes bio tu privilégieras
La réglementation européenne garantit que les fruits et légumes bio sont cultivés sans engrais, sans pesticides et sans OGM ; et que les producteurs sont régulièrement contrôlés par des organismes certifiés. Les trois grands labels européens bio sont AB (agriculture biologique), Nature et Progrès et Bio cohérence.
Bien-sûr on ne vous dit pas de manger que des petits pois biologique. Mais être attentif à son alimentation, c’est préserver sa santé et l’environnement !
24 mai 2016
Manger local avec la plateforme le-bonsens.fr
Les collectivités qui souhaitent inscrire davantage de produits locaux aux menus de leurs cantines disposent depuis quelques jours d’un nouveau service en ligne pour y parvenir. Mi avril, Laurent Granier et Fabien Ferdinandy ont lancé Le-bonsens.fr, une plateforme numérique mettant en relation gestionnaires de cantines et les producteurs locaux. « Le-bonsens est pensé pour toute la restauration en dehors de la maison, explique Fabien Ferdinandy, également patron de l’agence de communication Moustic multimédia. Potentiellement les restaurants peuvent également s’y inscrire. » L’inscription est gratuite et permet de bénéficier du service logistique pour acheminer les produits, ce qui constituait l’un des écueils des systèmes lancés précédemment. Filière poisson frais Didier Gauchet, directeur général de la Chambre d’agriculture de Charente-Maritime voit aussi dans cette plateforme « le moyen pour les gestionnaires de restaurants collectifs de nous faire connaître leurs besoins tant quantitativement que qualitativement. Cela nous permettra d’accompagner les agriculteurs pour mettre en production ce qui est vraiment attendu. »
Voir l’article complet sur Info-Eco (page 3)
24 mai 2016
Le-bonsens.fr, première plateforme entre restauration collective et producteurs locaux
Économie. Deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont mis au point la première plateforme de dialogue entre gestionnaires de restauration collective et petits producteurs de la région.
Pour favoriser le « manger local » dans les cantines, les circuits courts et les produits de saison ou bio, deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont créé « le bon sens », une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins. Lancée le 8 avril à La Rochelle, qui fait office de laboratoire, Le-bonsens.fr va prochainement élargir ses activités à l’ancienne région Poitou-Charentes. Et si l’intérêt des cantines se confirme, la plateforme, qui dit avoir déjà une quarantaine d’acheteurs potentiels, espère couvrir l’ensemble du pays à la prochaine rentrée scolaire.
« Le-bonsens.fr est pensé pour toute la restauration en dehors de la maison, explique l’un des deux fondateurs, Fabien Ferdinandy. Potentiellement les restaurants peuvent également s’y inscrire. » D’autant que « Le bon sens » ne se contente pas d’assurer le lien entre collectivités et producteurs, il prend aussi en compte l’acheminement et la transformation des produits, des écueils logistiques qui freinaient des systèmes similaires lancés dans le passé.
Côté fournisseurs, ce service crée « un débouché supplémentaire aux agriculteurs et aux pêcheurs, qui souffrent », souligne Fabien Ferdinandy.
LE CROUS INTÉRESSÉ
Car, outre les traditionnels légumes et fruits, ou le lait, « Le bon sens » propose aussi du poisson frais, un atout de poids, particulièrement en Charente-Maritime. « Il n’existe aucun marché sur le poisson frais », souligne Laurent Granier, l’autre co-fondateur de la plateforme. « Et le port de La Rochelle a besoin de solutions pour vendre sa pêche et sauver ses bateaux », ajoute-t-il. Cette filière pêche intéresse particulièrement le Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous), qui sert environ 20 millions de repas par an dans les quatre départements de l’ex-Poitou-Charentes…
Voir l’article sur Paris-Normandie
24 mai 2016
Plateforme numérique du « manger local » à La Rochelle
La Rochelle, 5 mai 2016 (AFP) – Pour favoriser le « manger local » dans les cantines, les circuits courts et les produits de saison ou bio, deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont créé « le bon sens », une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins.
Lancée le 8 avril à La Rochelle, qui fait office de laboratoire, Le-bonsens.fr va prochainement élargir ses activités à l’ancienne région Poitou-Charentes. Et si l’intérêt des cantines se confirme, la plateforme, qui dit avoir déjà une quarantaine d’acheteurs potentiels, espère couvrir l’ensemble du pays à la prochaine rentrée scolaire. Le-bonsens.fr « est pensé pour toute la restauration en dehors de la maison, explique l’un des deux fondateurs, Fabien Ferdinandy. Potentiellement, les restaurants peuvent également s’y inscrire ». D’autant que « Le bon sens » ne se contente pas d’assurer le lien entre collectivités et producteurs, il prend aussi en compte l’acheminement et la transformation des produits, des écueils logistiques qui freinaient des systèmes similaires lancés dans le passé.
Côté fournisseurs, ce service crée « un débouché supplémentaire aux agriculteurs et aux pêcheurs, qui souffrent », souligne M. Ferdinandy. Car, outre les traditionnels légumes et fruits, ou le lait, « Le bon sens » propose aussi du poisson frais, un atout de poids, particulièrement en Charente-Maritime. « Il n’existe aucun marché sur le poisson frais », souligne Laurent Granier, l’autre co-fondateur de la plateforme. « Et le port de La Rochelle a besoin de solutions pour vendre sa pêche et sauver ses bateaux », ajoute-t-il. Cette filière pêche intéresse particulièrement le Centre régional des oeuvres universitaires et scolaires (Crous), qui sert environ 20 millions de repas par an dans les quatre départements de l’ex-Poitou-Charentes.
« Cela ne coûte pas plus cher car les produits de qualité se conservent mieux »
« Le Crous de Poitiers, dont La Rochelle dépend, n’a passé aucun marché formalisé de poisson frais», explique Karine Peltier, directrice du pôle restauration et hébergement universitaires pour Niort et La Rochelle. « Nous sommes sensibles au développement des circuits courts en termes d’achat de denrées alimentaires qui ne relèvent pas d’un marché national. Je vois dans « Le bon sens » une possibilité de nous approvisionner en poisson frais. Nous faisons un test », poursuit-elle. Outre le Crous, « nous avons déjà 42 acheteurs potentiels, dont des maisons de retraite, des mairies et des agglomérations », assure Laurent Granier.
Voir l’article complet sur Terre-net
24 mai 2016
Pour favoriser le « manger local » dans les cantines, les circuits courts et lesproduits de saison ou bio, deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont crééLe bon sens, une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins.
Lancée ce dimanche à La Rochelle, qui fait office de laboratoire, Le-bonsens.fr va prochainement élargir ses activités à l’ancienne région Poitou-Charentes. Et si l’intérêt des cantines se confirme, la plateforme, qui dit avoir déjà une quarantaine d’acheteurs potentiels, espère couvrir l’ensemble du pays à la prochaine rentrée scolaire.
Le-bonsens.fr « est pensé pour toute la restauration en dehors de la maison, explique l’un des deux fondateurs, Fabien Ferdinandy. Potentiellement les restaurants peuvent également s’y inscrire. »
Fruits, légumes, poisson frais
« Le bon sens » ne se contente pas d’assurer le lien entre collectivités et producteurs, il prend aussi en compte l’acheminement et la transformation des produits, des écueils logistiques qui freinaient des systèmes similaires lancés dans le passé.
« Les produits de qualité se conservent mieux et entraînent moins de perte »
Côté fournisseurs, ce service crée « un débouché supplémentaire aux agriculteurs et aux pêcheurs, qui souffrent », souligne Fabien Ferdinandy. Car, outre les traditionnels légumes et fruits, ou le lait, « Le bon sens » propose aussi du poisson frais, un atout de poids, particulièrement en Charente-Maritime.
« Il n’existe aucun marché sur le poisson frais », souligne Laurent Granier, l’autre co-fondateur de la plateforme. « Et le port de La Rochelle a besoin de solutions pour vendre sa pêche et sauver ses bateaux », ajoute-t-il. Cette filière pêche intéresse particulièrement le Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous), qui sert environ 20 millions de repas par an dans les quatre départements de l’ex-Poitou-Charentes…
Voir l’article complet sur Sud-Ouest
24 mai 2016
La Rochelle : une plateforme numérique pour favoriser le « manger local »
Deux entrepreneurs de Charente-Maritime ont créé « Le Bonsens », une plateforme numérique mettant en relation les gestionnaires de restaurants collectifs et les petits producteurs voisins. En un mois, leur idée a séduit une quarantaine d’acheteurs potentiels.
Lancée le 8 avril à La Rochelle, Le-bonsens.fr fait office de laboratoire; cette plateforme numérique qui vise à favoriser le « manger local » va prochainement élargir ses activités à l’ancienne région Poitou-Charentes. Et si l’intérêt des cantines se confirme, la plateforme, qui dit avoir déjà une quarantaine d’acheteurs potentiels, espère couvrir l’ensemble du pays à la prochaine rentrée scolaire.
Un débouché supplémentaire pour les pêcheurs
« Le-bonsens.fr est pensé pour toute la restauration en dehors de la maison« , explique l’un des deux fondateurs, Fabien Ferdinandy. « Potentiellement les restaurants peuvent également s’y inscrire. » D’autant que « Le bon sens » ne se contente pas d’assurer le lien entre collectivités et producteurs, il prend aussi en compte l’acheminement et la transformation des produits, des écueils logistiques qui freinaient des systèmes similaires lancés dans le passé.
Côté fournisseurs, ce service crée « un débouché supplémentaire aux agriculteurs et aux pêcheurs, qui souffrent« , souligne M. Ferdinandy. Car, outre les traditionnels légumes et fruits, ou le lait, « Le bon sens » propose aussi du poisson frais, un atout de poids, particulièrement en Charente-Maritime. « Il n’existe aucun marché sur le poisson frais« , souligne Laurent Granier, l’autre co-fondateur de la plateforme. « Et le port de La Rochelle a besoin de solutions pour vendre sa pêche et sauver ses bateaux« , ajoute-t-il …
Voir l’article complet sur France 3 Poitou-charentes
11 mai 2016
Combien de fois par semaine mangez-vous sans même y prêter attention ? Est-ce que vous mangez parfois devant la télé ou en travaillant ? En mangeant de manière machinale et rapide est-ce bon pour vous?
ça fait beaucoup de questions d’un coup, on en a conscience !
Bien manger, c’est la santé !
Manger en pleine conscience c’est sentir sa faim, avoir l’eau à la bouche, Prendre le temps de déguster, déceler les goûts, savourer les couleurs, les textures de nos aliments et se sentir rassasié. C’est retrouver un rapport instinctif à la nourriture, s’écouter du début à la fin du repas. Quand on prend le temps de manger, et qu’on ne se contente pas d’engouffrer le contenu de notre assiette pendant que l’on s’occupe avec autre chose, manger prend alors un autre sens. Une bonne recette à déguster sans modération, que le bon sens devrait tous nous encourager à suivre.
Manger devient alors un plaisir, plus intense et satisfaisant. Manger apaise car on ne pense qu’à notre plaisir, et à rien d’autre. Résultat : on finit notre repas beaucoup plus vite rassasié et détendu. Du coup, on mange mieux et en plus petite quantité. ( Que du bon, on vous dit ! )
Et pourtant, qui au moment de cuisiner s’est déjà retrouvé dans la situation suivante, c’est-à-dire : coude posé sur la porte du frigo, le regard vague sur le contenu de celui-ci et la question fatidique aux lèvres « mais qu’est-ce que je mange ce soir ? »
Un enfant sait spontanément s’il a faim et quand il a assez mangé jusqu’à l’âge de 4 ans. Ensuite, les habitudes et les » tu finis ton assiette » prennent le dessus. Notre cerveau prend le pas sur le corps. Un cafouillis émotionnel qui altère nos papilles. Quand on devient adulte, le repas n’est plus seulement un moyen de faire le plein d’énergie, mais il sert aussi à nous distraire, à séduire, à soulager, à séduire, à récompenser. « Tout le processus de l’alimentation est devenu une préoccupation majeure et une espèce de médicament en vente libre pour calmer de nombreuses pressions et l’anxiété générées par les modes de vie hyperactifs », explique la thérapeute Jan Chozen Bays. La relation franchouillarde et honnête que nous avions avec notre alimentation est alors court-circuité par nos mœurs.
On devient ce que l’on mange !
Comment retrouver nos sensations alimentaires ? Après des scandales alimentaires en tous genres, nous prendrons en exemple la lasagne de cheval. On veut du bon et du vrai dans nos casseroles. Et cela passe d’abord par la qualité des produits, leur origine, et leur saisonnalité : le bio et le local sont de plus en plus privilégiés depuis une certaine prise de conscience sur notre consommation, et c’est tant mieux ! On se remet aux fourneaux, entre « top du chef », « le pâtissier c’est le meilleur » ou encore « au secours en cuisine » même la télé nous témoigne de l’amour de cuisiner et de bien manger. Rien de tel que d’enfiler son tablier pour retrouver le goût de la bonne chair et renouer avec le plaisir à table.
Nos conseils pour prendre du plaisir en mangeant :
- Adieu radio, télé, ordi, journaux. On s’écoute et on profite du moment ! Juré, vous ne vous ennuierez pas !
- Reconnaître la faim, la vraie et savoir s’arrêter quand on a assez mangé.
- On regarde, on hume puis on déguste doucement son repas. On ralentit la cadence il n’y a pas le feu au lac, mastiquez, posez vos couverts, buvez une gorgée…
- On essaie de comprendre nos envies, pour prendre conscience de ce que l’on cherche dans certains aliments : un apaisement, une addiction, du réconfort (Parce que vous êtes seule un samedi soir à regarder the voix, on vous comprend !)
- Stop au régime, on ne commence plus la journée en prévoyant de ne rien manger d’autre qu’une pomme et une feuille de salade. La restriction encourage les transgressions fatales du type : manger tout le contenu de son frigo !
- Une envie de grignotage ? On s’assied et on mange lentement en appréciant. On arrête dès que le plaisir disparaît.
- On s’aime et on reste tolérant et bienveillant avec soi même ! Ne vous reprochez pas un petit excès. On préfère les aliments de qualité qui font du bien à la tête et au corps et de temps en temps on se lâche sur les cacahuètes !
- Appréciez pleinement les moments de repas comme une vraie source de plaisir mais il n’y a pas que la nourriture qui fait du bien, trouvez d’autres moments de satisfaction.
à vos fourchettes !